Je suis la fille aînée d’un professeur de philosophie et d’une artiste; je garde en moi la dualité des enseignements de mes 2 parents: l’un profondément athée et cartésien, l’autre presque mystique, nourrie de religion catholique et d’une enfance passée dans l’animisme ambiant de la jungle brésilienne.
Aussi, suis-je faite d’indépendance et de créativité, et d’un sens profond de la Nature et du Sacré.
Je grandis dans la musique et les livres, les balades en forêt de Saint Germain en Laye le dimanche, la Méditerranée 2 mois pleins l’été.
Suite à la mort de mes parents, je me questionne sur ce qu’il y a au-delà du matériel, me penche sur le subtil, et le Yoga déboule alors dans ma vie en 2012: je suis emportée, enthousiaste.
Les salutations au soleil commencent à se faire en dehors de la salle, les temps de respiration ou de méditation dans les transports.
En 2014, mon lien avec le Yoga s’intensifie: je veux un bébé et “avoir une vie plus saine”, je pratique plus régulièrement, ce jusqu’à quelques semaines avant mon accouchement (octobre 2015) !
Je reprends la main sur mon corps en 2016, avec le Pilates et reprends le tapis à la maison en commençant à explorer d’autres propositions que le Vinyasa.
En 2019, un article d’une blogueuse parisienne que j’aimais lire m’a fait connaître le Kundalini Yoga: je vais piocher dans ce que je trouve sur internet et dans les livres et commence une pratique quotidienne, mélangée et mixte.
2020, boum, confinement; cette pratique régulière du Yoga devient le pivot de ma santé mentale, et donc, par ricochets, de l’équilibre de ma petite famille.
Ma pratique, qui commence à être assidue, est à ce moment-là un véritable antidépresseur.
En 2021, je me forme, de janvier à juillet, avec 200 heures de Hatha/ Vinyasa Yoga.
En 2022, je me forme chez Bernadette de Gasquet pour pouvoir proposer du Yoga pré et post natal, puis entame le niveau 1 de Kundalini Yoga, que j’achève en 2024.
En 2025, j’entame le niveau 2 de Kundalini Yoga.